• Taux Euribor 365 jours
    TauxDernierVariationDate
    EUR 1W Euribor2.36100 %+0.04%10/01/2006
    EUR 1M Euribor2.38600 %-0.13%10/01/2006
    EUR 2M Euribor2.43300 %0.00%10/01/2006
    EUR 3M Euribor2.49500 %+0.12%10/01/2006
    EUR 4M Euribor2.55100 %+0.31%10/01/2006
    EUR 5M Euribor2.58700 %+0.19%10/01/2006
    EUR 6M Euribor2.63300 %+0.50%10/01/2006
    EUR 7M Euribor2.66400 %+0.68%10/01/2006
    EUR 8M Euribor2.69300 %+0.75%10/01/2006
    EUR 9M Euribor2.72400 %+0.93%10/01/2006
    EUR 10M Euribor2.75700 %+1.21%10/01/2006
    EUR 11M Euribor2.78200 %+1.35%10/01/2006
    EUR 1Y Euribor2.80600 %+1.26%10/01/2006

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  • Les engagements pris par les établissements bancaires à l'automne 2004 semblent marquer un tournant dans leur stratégie tarifaire.

    Le passage de Nicolas Sarkozy au ministère de l'Economie aura laissé des traces dans les banques. Tous les engagements obtenus en novembre 2004, au terme de longues tractations entre les établissements de crédit et les associations de consommateurs, sont désormais réalisés. Le dernier en date, l'insertion de pictogrammes dans les relevés bancaires pour mieux identifier les différents frais, devait être effective en début d'année. Mais le résultat le plus spectaculaire réside peut-être dans la modération tarifaire qui semble s'être emparée des banques. Les associations de consommateurs n'y sont sans doute pas étrangères. « La profession n'est plus dans l'ère des hausses de tarifs de plus de 10 % », reconnaît Jean-Pierre Levayer, directeur de l'offre de produits et services du Groupe Caisse d'Epargne.

    L'examen des tarifs applicables à partir de janvier sur un éventail de produits et services les plus courants, dans les principaux réseaux (voir ci-contre), confirme cette modération. La hausse constatée est globalement limitée à l'inflation - c'est par exemple la préconisation de la Caisse nationale des Caisses d'Epargne, la tête de réseau du groupe coopératif, pour 2006. Et encore, beaucoup de tarifs restent stables. Certains services accusent même des baisses, voire deviennent gratuits.

    Consommateurs plus attentifs :
    Pourquoi une telle stratégie ? D'abord, pour préserver le fonds de commerce. « A l'occasion de notre changement de marque en novembre et de la convergence de quatre des banques du groupe (CCF, Hervet, UBP et Banque de Picardie), nous avons voulu mettre en avant notre modération tarifaire, explique Yves Le Guerch, responsable du marketing particuliers pour HSBC France. Nous avons ainsi harmonisé, le plus souvent à la baisse, les tarifs de ces établissements, et nous avons supprimé la commission sur les comptes inactifs. » La tendance est louable, venant surtout d'une banque plutôt orientée vers la clientèle haut de gamme. « Nous préférons inciter les clients à développer leurs avoirs chez nous plutôt que de tarifer trop cher les services les plus courants », souligne Yves Le Guerch.
    Ensuite, pour capter de nouveaux clients. « Les consommateurs sont plus attentifs qu'auparavant aux différences de tarifs entre les banques, même si le taux du crédit immobilier reste encore un facteur de choix déterminant », explique Yves Matrenchar, responsable retail pour la banque de détail en France de BNP Paribas.

    « Low cost »
    Phénomène conjoncturel ou tendance de fond ? « Clairement, notre politique de modération tarifaire s'inscrit dans la durée, répond le responsable de BNP Paribas. Nous n'avions pas attendu les négociations avec Bercy pour supprimer, par exemple, les frais de clôture de compte ou ceux liés à la mise en place des virements permanents. » Depuis, la banque de la rue d'Antin a réduit ses tarifs sur les envois occasionnels de chéquier, la lettre d'injonction, l'opposition sur carte bancaire, ou encore la consultation du compte par Internet.
    Dans ces conditions, certains banquiers s'interrogent sur le point de savoir si l'initiative du Crédit Agricole, qui a lancé une carte bancaire « low cost » à 14,90 euros en novembre, n'annonce pas un profond revirement sur les niveaux de prix.
    Aux Caisses d'Epargne, on refuse d'adopter une telle stratégie. « Nous n'avons pas le même positionnement, explique Jean-Pierre Levayer. A la différence du Crédit Agricole, nous avons choisi notamment de ne pas facturer les retraits effectués aux distributeurs de billets des autres réseaux, ni de supprimer certains services essentiels comme la garantie achat. » Chez BNP Paribas, on ne souhaite pas non plus entrer dans cette logique : « Nous avons choisi la modération tarifaire, mais pas le hard-discount. Nous préférons enrichir le service offert à nos clients», indique Yves Matrenchar, qui prépare ainsi un nouveau service lié à la carte bancaire pour le printemps.
    Il n'empêche. « Il est probable que l'on s'oriente vers des prix de plus en plus ajustés au profil d'utilisation de la banque par chaque client, pour une personnalisation croissante des services rendus », estime Patrick Maheut, directeur du développement à la Banque Fédérale des Banques Populaires. Source : © lesechos.fr informations copyright

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  • 1° Le compromis de vente ou promesse synallagmatique de vente :

    Le compromis de vente est un avant contrat de vente. C'est à la fois une promesse d'achat de la part de l'acquéreur et une promesse de vente de la part du vendeur.
    Pour que le bon déroulement de la vente soit possible, il y a certaines conditions à réaliser, on les appelle conditions suspensives. Si elles ne sont pas réalisées la vente ne peut pas avoir lieu. Il existe 3 conditions suspensives particulières :
    • Un délai pour l'obtention du certificat d'urbanisme
    • Le droit de préemption de la ville
    • L'obtention du financement de l'acquéreur à un taux et pour une durée de mensualités à mentionner de préférence dans le compromis. Pour bénéficier des meilleurs taux de crédit immobilier sur le marché et obtenir des conseils personnalisés à votre projet, cliquez sur Demande de prêt .
    Le compromis de vente peut être signé sous seing privé. Il doit nécessairement
    être publié sous 10 jours.
    Il donne lieu au versement d'un acompte, dédit, arrhes ou indemnité d'immobilisation suivant ce qui a été mentionné dans le compromis.
    Si la vente n'est pas réalisée du fait de l'acquéreur tandis que les conditions suspensives sont levées, l'acompte reste au vendeur.
    La loi SRU accorde un délai de réflexion de 7 jours après la signature lorsqu'elle est réalisée sous seing privé.

    2° Promesse unilatérale de vente :

    La promesse unilatérale de vente lie le vendeur, sachant que l'acquéreur est lié à 3 conditions suspensives.
    Pour que le bon déroulement de la vente soit possible, il y a certaines conditions à réaliser, on les appelle conditions suspensives. Si elles ne sont pas réalisées la vente ne peut pas avoir lieu. Il existe 3 conditions suspensives particulières :
    • Un délai pour l'obtention du certificat d'urbanisme
    • Le droit de préemption de la ville
    • L'obtention du financement de l'acquéreur à un taux et pour une durée de mensualités à mentionner de préférence. Pour bénéficier des meilleurs taux de crédit immobilier sur le marché et obtenir des conseils personnalisés à votre projet, cliquez sur Demande de prêt .
    Le compromis de vente peut être signé sous seing privé. Il doit nécessairement être publié sous 10 jours.
    Il donne lieu au versement, par défaut il s'agit d'une indemnité d'immobilisation sauf si dans l'acte on mentionne qu'il s'agit d'arrhes, de dédit ou de clause pénale.
    Si la vente n'est pas réalisée du fait de l'acquéreur tandis que les conditions suspensives sont levées, l'acompte reste au vendeur.
    La loi SRU accorde un délai de réflexion de 7 jours après la signature lorsqu'elle est réalisée sous seing privé.

    3 °Acte authentique de vente ou contrat de vente :

    Il s'agit d'un acte rédigé généralement par un notaire. Si la garantie de votre prêt est une hypothèque, seul le notaire est autorisé à effectuer les démarches en ce sens.
    Le contrat de vente atteste l'accord des parties contractantes et précise les caractéristiques des biens
    et les conditions générales de la vente.

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  • L'assurance chômage permet de s'assurer en cas de perte d'emploi. Il s'agit d'une assurance facultative. Les conditions d'accès peuvent varier mais généralement ce sont les suivantes :
    • Etre salarié depuis 6 mois ou 1 an
    • Etre employé en CDI
    • Ne pas être en préavis de licenciement.
    Il existe un délai de carence de 6 à 12 mois généralement à partir de la signature du contrat.
    Il existe également un délai de franchise qui représente généralement entre 6 et 12 mois suivants la perte d'emploi.
    En général l'assurance chômage couvre 20 à 72 mois de perte d'emploi en fonction du contrat signé. Les sommes versées par l'assurance chômage en cas de perte d'emploi peuvent être à rembourser à l'issue du prêt. Ceci est mentionné dans les clauses du contrat d'assurance.
    Le coût de l'assurance peut également être majorée pendant la durée du contrat

    Notre avis:Aujourd'hui plus personne n'est à l'abri du chômage. Cependant cette assurance est onéreuse et en fonction des clauses de chaque contrat, elle est plus ou moins intéressante par rapport à vos risques propres. Avant de prendre une décision sur cette assurance, il est important de bien lire les clauses.



     Assurance complémentaire pour les cadres:

    La mutuelle CAMEIC, propose une période de prise en charge complémentaire avec le versement des Assedics afin d'arriver à son salaire net.
    C.A.M.E.I.C.
    11, bis rue Portalis
    75008 Paris
    01.45.22.85.64

    Assurance Chômage pour les non-salariés:

    Il existe la GSC Garantie Sociale des Chefs et dirigeants d'entreprise.
    GSC
    42, avenue de la Grande Armée
    75017 Paris
    01.45.72.63.10
    Il y a généralement un délai de carence de 12 mois avant obtention d'une indemnité.
    S'il y a démission ou faute grave du dirigeant, les indemnités ne sont pas perçues.

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  • Alors que les prix de l'immobilier flambent en France depuis quatre ans, qui peut encore acheter ? Focus sur le profil des acheteurs de biens immobiliers en 2004.

    Les prix de l'immobilier grimpent, tandis que le revenu moyen des ménages stagne. Dans ce contexte les cadres supérieurs, professions libérales et autres professions intermédiaires représentent toujours la majorité des acheteurs de biens immobiliers. Et ce ,au détriment des ouvriers et employés ! Face à une telle flambée des prix, ces derniers sont en effet de plus en plus exclus des villes chères.

    Ainsi, les derniers chiffres de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM) révèlent qu'en 2004, la part des ouvriers et des employés parmi les accédants à la propriété était de 33,8%, contre 40,4% en 1999. A contrario, les cadres supérieurs/professions libérales et les professions intermédiaires représentaient à elles deux 61,2% en 2004, contre 46,4% en 1999.

    Mais ce n'est pas tout ! La hausse des prix a également pénalisé les agriculteurs et les commerçants. De 6,7% en 1999, ils ne sont plus que 2 % à acheter en 2004. Quant aux inactifs et aux retraités, ils sont deux fois moins nombreux à acquérir un bien immobilier en 2004 qu'en 1999, à 3% seulement contre 6,5% auparavant!

    D'autre part, selon la FNAIM, les primo-accédants peuvent de moins en moins se permettre d'acheter dans les villes chères, là où les niveaux de prix sont élevés. « La part des primo-accédants dans la population des accédants à la propriété est de 62,9% (contre 76% en 1998), mais ils sont toujours moins nombreux dans les zones les plus chères », déclare en effet René Pallincourt le président de la FNAIM. Ainsi, ils représentent par exemple 56,1% en Ile-de-France contre 83,9% en Alsace, 75,7% en Auvergne, 74,8% en Poitou-Charentes ou 70,6% en Basse Normandie.

    A noter enfin que le revenu des ménages qui acquièrent un bien immobilier progresse de 6% par an... tandis que celui de l'ensemble des ménages n'augmente que de 3 % Source : © batiactu.com Informations copyright

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