• Où acheter aujourd'hui en France un bien correct pour 100 000 euros ? Réponse : dans les villes de taille moyenne ou petite. Mais, à ce prix-là, il faudra faire des concessions...

    100 000 euros : une somme symbolique et qui parle à chacun. Au point que Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Emploi, de la Cohésion sociale et du Logement, l'a choisie pour l'une de ses mesures sur le logement social (voir encadré). Autant l'avouer, il n'est pas facile de se payer aujourd'hui un bien correct, de 70 mètres carrés au moins, avec un tel montant.

    En cause : la hausse des prix.
    Sur le site de Century 21, ils représentent ainsi seulement 10 % des logements à la vente. L'étude réalisée par ce réseau est sans appel et stigmatise huit années de hausse des prix de l'immobilier. D'autant qu'en 2005, estime Century 21, le marché a encore augmenté de 12,03 %, avec une hausse de 13 % pour les appartements et de 11 % pour les maisons.

    Les villes moyennes en tête
    La cartographie des logements à 100 000 euros est étonnante. Hormis Brest et Limoges, toutes les villes de 100 000 habitants sont exclues de ce « palmarès ». En revanche, on trouve un logement à ce prix en Auvergne (Moulins, Vichy), dans le Cher (Bourges, Vierzon), dans la Creuse (Aubusson, Guéret), en Dordogne (Périgueux, Bergerac), dans le Centre (Pithiviers) ou encore en Bourgogne (Auxerre) et dans les Vosges (Epinal). C'est-à-dire dans des villes moyennes, voire petites, qui ont pris le train de la hausse il y a seulement trois ou quatre ans. Mais ne rêvez pas : à ce prix-là, vous visiterez des maisons à rénover ou des appartements situés dans les faubourgs...

    Une maison pour tous
    Le nouveau dispositif d'accession sociale à la propriété combine des aides publiques, un dispositif juridique spécifique de location-accession et un cahier des charges imposant des normes de qualité, notamment en matière de performances énergétiques. Cette boîte à outil est mise à la disposition des collectivités. A charge pour elles de choisir le montage le plus adapté au marché local pour proposer une maison d'au moins 85 mètres carrés à 100 000 euros. Seize communes sont déjà partantes. Source : © votreargent.fr informations copyright

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  • Taux Euribor 365 jours
    TauxDernierVariationDate
    EUR 1W Euribor2.36400 %-0.04%07/02/2006
    EUR 1M Euribor2.39000 %+0.04%07/02/2006
    EUR 2M Euribor2.50300 %+0.04%07/02/2006
    EUR 3M Euribor2.56900 %-0.04%07/02/2006
    EUR 4M Euribor2.61200 %0.00%07/02/2006
    EUR 5M Euribor2.65700 %+0.04%07/02/2006
    EUR 6M Euribor2.70400 %+0.11%07/02/2006
    EUR 7M Euribor2.74100 %+0.07%07/02/2006
    EUR 8M Euribor2.77700 %0.00%07/02/2006
    EUR 9M Euribor2.81500 %-0.04%07/02/2006
    EUR 10M Euribor2.84600 %-0.04%07/02/2006
    EUR 11M Euribor2.87800 %-0.03%07/02/2006
    EUR 1Y Euribor2.90800 %-0.03%07/02/2006
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  • Réforme de l'hypothèque : pour un crédit rechargeable mieux encadré

    Pour les banques, les pouvoirs publics doivent « mieux définir » les contours du futur crédit hypothécaire rechargeable.

    Ce nouveau crédit gagé sur un bien immobilier, prévu dans la réforme de l'hypothèque. « Le périmètre retenu par les pouvoirs publics est plus large que celui préconisé par les banques qui ont attiré leur attention sur la nécessité d'encadrer ce nouveau produit, afin qu'il n'engendre pas d'effets contre-productifs, indique la Fédération bancaire française dans sa lettre mensuelle. Il s'agit notamment de prévenir tout danger d'endettement excessif qui ferait porter un risque sur le logement familial des emprunteurs. Les associations de consommateurs sont également très sensibilisées à ce sujet. » Le recours à un notaire devrait être requis à chaque nouveau crédit. En cours de finalisation, le projet d'ordonnance de la réforme de l'hypothèque doit être examiné, avant signature par le ministre, par le Comité consultatif de la législation et de la réglementation financières, où siègent les représentants des établissements financiers et des organisations de consommateurs. Source : © lesechos.fr informations copyright

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  • La Banque centrale européenne a maintenu  inchangé le niveau de son principal taux d'intérêt directeur à 2,25%

    Pas de surprise à l'issue de la réunion mensuelle du comité de politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE). Celui-ci vient de décider de maintenir inchangé le niveau de ses taux d'intérêt directeurs. Le taux de refinancement, le principal d'entre eux, demeure donc de 2,25%, après le relèvement d'un quart de point décidé en décembre dernier.

    Pour autant, la situation pourrait évoluer rapidement. «Les marchés ont raison de s'attendre à une hausse des taux prochaine », a indiqué Jean-Claude Trichet, le gouverneur de la BCE, confirmant les déclarations faites au cours de sa précédente conférence mensuelle. Le prochain tour de vis monétaire aurait vraisemblablement lieu début mars. «Il y a un risque de hausse de l'inflation à court terme», a-t-il ajouté, précisant que le comité de politique monétaire restait «vigilant».

    Mais Jean-Claude Trichet n'envisage pas une hausse graduelle et régulière des taux dans les mois qui viennent, comme c'est le cas aux États-Unis. «La BCE n'est pas engagée dans une série de hausse des taux», a-t-il affirmé. Au-delà du mois de mars, les marchés misent sur un nouveau relèvement de taux d'un quart de point au cours du deuxième semestre. Interrogé sur cette perspective, le président de l'institut n'a pas voulu se prononcer. Source : © lesechos.fr informations copyright.

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  • Quinze mille nouveaux foyers pourraient bénéficier de l'ouverture aujourd'hui du prêt immobilier aux ménages plus aisés. La portée de cette mesure restera cependant plus limitée que la réforme de 2005 favorable aux ménages modestes.

    Le prêt immobilier à 0 % s'ouvre aux classes moyennes d'Ile-de-France, du Genevois français et de la région Paca, trois régions où les prix de l'immobilier sont particulièrement élevés. A compter d'aujourd'hui, les ménages de trois enfants, percevant plus de 4.478 euros par mois - revenu plafond jusqu'alors - et moins de 6.007 euros, peuvent financer l'achat d'un bien, avec un crédit de 30.000 euros sans intérêt, un prêt à taux zéro (PTZ). L'ambition du gouvernement à travers cet élargissement est d'apporter un appui financier à 15.000 ménages.
    L'effet pourrait cependant s'avérer plus limité. « Cette mesure touchera moins de 2.000 ménages supplémentaires », juge ainsi Marie- Christine Caffet, responsable des marchés et des métiers à la Confédération nationale du Crédit Mutuel. Pour aider les classes moyennes à accéder à la propriété dans les régions où les prix de l'immobilier ont le plus grimpé, certains estiment qu'il aurait été plus efficace de doubler le montant des PTZ. D'autant que le Sénat a réduit la portée originelle de cette mesure en ramenant le plafond de revenus de 7.200 à 6.007 euros.

    « Rôle de facilitateur »
    L'impact de cet élargissement sera en tout cas beaucoup moins sensible que la grande réforme « familiale et sociale » du PTZ de février 2005, qui a rencontré un vif succès auprès des ménages modestes. Alors que le nombre de prêts devait passer de 79.311 en 2004 à 240.000 en vitesse de croisière, déjà 200.000 ont été délivrés l'an dernier ! Il est vrai que, à cette occasion, le PTZ a été élargi à l'immobilier ancien, ses conditions de remboursement et sa durée ont été assouplies pour les revenus modestes et il a été bonifié en fonction du nombre d'enfants. « 60 % des opérations réalisées en 2005 n'auraient pas pu se faire sans l'extension du prêt à 0 %, indique le ministère. Ses principaux bénéficiaires ont été les employés et les ouvriers. »
    « Le nouveau prêt à taux zéro a joué son rôle de facilitateur dans l'accès à la propriété des ménages modestes et des familles nombreuses, confirme François Drouin, président du directoire du Crédit Foncier. Nous avons constaté une baisse des revenus des ménages emprunteurs et le financement d'opérations de taille plus petite. » La part des emprunteurs appartenant aux deux tranches de revenus les plus basses est passée de 38 % à 43 % l'an dernier. Celle des foyers monoparentaux a progressé de 16 % à 28 %. Ce meilleur accès s'est produit de surcroît en zones urbaines, où le PTZ était jusqu'à présent peu distribué. « Les pôles urbains attirent la moitié des opérations alors que le périurbain recule passant du tiers à un cinquième des prêts accordés », indique Marie-Christine Caffet. Source : © lesechos.fr  informations copyright

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