• Les compagnies d'assurance considèrent le contrat première embauche (CPE) comme un contrat à durée déterminée (CDI), en matière d'assurance des loyers impayés, indique mercredi la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA) dans un communiqué.

    Après avoir reçu la semaine dernière les organismes bancaires, le Premier ministre a reçu hier la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA) et le Groupement des entreprises mutuelles d'assurances (GEMA) afin de faire le point sur le rôle des assureurs dans l'accès au logement.

    Les assureurs qui pratiquent l'assurance de loyers impayés se sont engagés à offrir des couvertures d'assurance contre les impayés de loyers aux titulaires de contrat nouvelles embauches (CNE) et de contrat première embauche (CPE) selon les mêmes critères que ceux applicables aux titulaires de contrats à durée indéterminée (CDI).

    Par ailleurs, les assureurs ont la possibilité de passer des conventions avec les partenaires sociaux du 1% logement pour proposer des couvertures de loyers impayés respectant un cahier des charges social, rappelle la Fédération.

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  • Cette surévaluation de 30% des prix de l'immobilier en France estimée par Mr Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France et membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), peut avoir pour conséquence une remontée des taux.

    En effet les banquiers de la zone euro multiplient les mises en garde afin d'éviter "un crash immobilier", tout en estimant nécessaire une hausse des taux d'intérêt.
    La BCE souhaite limiter également les accès au crédit qui alimente l'inflation mais aussi la surévaluation de l'immobilier

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  • Qui croire ? Les notaires, la Fnaim, le directeur du groupe de presse immobilière PAP, le réseau d'agences Century 21 ou le site Internet seloger.com ? Cinq études viennent de paraître et chacune prédit un avenir différent aux prix de l'immobilier. Ainsi, pour les notaires, c'est clair, « une baisse ne paraît pas envisageable ». Tandis que pour Jean-Michel Guérin, directeur du journal « De particulier à particulier », « une baisse de 30 % à 40 % » apparaît inéluctable « dans les cinq années à venir ». D'après lui, les prix de l'immobilier ont déjà doublé depuis 1997 et « par rapport aux revenus des Français, les prix sont surévalués ». Dans la même veine, la Fnaim (Fédération nationale des agents immobiliers) s'attend à un atterrissage : pour la première fois depuis longtemps, « les prix pourraient même baisser sur certains marchés trop étroits ou, au contraire, sur lesquels les prix ont monté trop vite et/ou trop haut ». Un pessimisme battu en brèche par Hervé Bléry, directeur général du réseau d'agences Century 21, qui table sur une hausse de 10 % cette année, contre 12 % l'an dernier. Enfin, le baromètre Seloger observe un calme plat des prix en décembre qui tranche avec la tempête des huit années précédentes où les prix ont crû de 107 %. On le voit, les professionnels ont une vision claire et univoque de leur métier ! En fait, il est facile d'ironiser. Car comment prédire l'issue d'une situation inédite ? Le maintien des taux d'intérêt à des niveaux si bas propulse le mètre carré à des niveaux qui tranchent avec la modération des autres prix. Et, surtout, avec l'évolution des revenus de la majorité des candidats à l'accession.
    Alors, à défaut de vision, il est intéressant d'avoir de l'ouïe et d'écouter les économistes des marchés financiers. Ces observateurs sont plus distanciés que les oracles spécialistes de la pierre. Ils peuvent comparer sans affect les différentes classes d'actifs entre elles : actions, obligations, liquidités, or, pierre, matières premières. Eh bien, pour eux, sans hésitation possible, la bulle immobilière est là et ce n'est pas parce qu'elle n'explose pas qu'elle n'existe pas. Et Jean-Pierre Petit, directeur de la recherche chez Exane-BNP Paribas, de rappeler à ce sujet que « le propre d'une bulle est d'éclater quand on ne s'y attend pas et d'une manière beaucoup plus violente qu'on ne l'avait prévu ». Mais tant qu'elle se contente de gonfler, on peut se croire tranquille.

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  • Engagement des banques pour faciliter l'accès au crédit aux titulaires d'un CNE ou d'un CPE . Suite à une réunion hier entre le Premier Ministre et les présidents des principales banques françaises, celles-ci ont réaffirmé qu'elles s'étaient engagées à accorder des crédits aux titulaires de contrat nouvelles embauches (CNE) et de contrat première embauche (CPE) selon les mêmes critères que ceux applicables aux titulaires de contrats à durée indéterminée traditionnels (CDI).Source : © patrimoine.com informations copyright.

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  • Les banques européennes sont plus réticentes à accepter un prêt immobilier, selon les résultats trimestriels de l'enquête sur la distribution du crédit bancaire réalisée par la Banque centrale européenne. Les banques ne veulent plus faciliter l'accès au crédit des ménages car elles estiment que le marché immobilier est devenu de plus en plus risqué. 20 % des banques interrogées envisagent "d'inverser la tendance au rallongement de la durée des prêts".Source : © patrimoine.com informations copyright

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