La poursuite de la hausse des prix de l'immobilier résidentiel n'inquiète pas que les particuliers. Auditionné par la Commission des finances de l'Assemblée Nationale, Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France et membre du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), vient de reconnaître que « si la hausse des prix de 10 à 15% par an se poursuivait, la situation risquerait de s'aggraver ». D'ailleurs la Banque de France souhaite mener une action d'information du public afin qu'il refuse des prix trop élevés. Même si la situation n'est pas trop tendue, car les taux d'intérêt restent à de faibles niveaux, un risque de désolvabilisation guette les candidats à l'accession à la propriété.
Pire, les prix de l'immobilier en France seraient surévalués de près de 30 %. Cette surchauffe ne se limite pas à notre pays, puisque les banquiers de la zone euro ont multiplié les mises en garde afin d'éviter "un crash immobilier", tout en estimant nécessaire une hausse des taux d'intérêt. En l'occurrence la Banque centrale européenne souhaite limiter l'accès au crédit qui alimente l'inflation, mais également la surévaluation de l'immobilier.

Vous recherchez un crédit immobilier ?  Contactez-nous dès maintenant : il vous suffit de nous téléphoner au  04 42 38 36 68 ou de compléter la demande d'étude sur www.petitaux.com