"Pour la première fois depuis février 2005, le ralentissement de la hausse des prix marque une pause, sans pour autant que le rythme de progression des prix, désormais plus modéré, ne puisse être remis en cause", estime la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim). Le rythme de croissance annuel moyen du prix de l’immobilier ancien s'est stabilisé à +9,1 % en mai. En glissement annuel, le prix des appartements a augmenté de 8,8 % (+8,7 % en avril), celui des maisons a augmenté de 9,5 % (comme en avril).

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Encore une bonne nouvelle pour les emprunteurs : le principal organisme de caution en France, le Crédit Logement, annonce que le coût de sa caution va être réduit de 30 à 50%.

La réplique du Crédit Logement n’aura donc pas tardé. Nous vous annoncions il y a quelques jours que les garanties réelles (hypothèque, privilège de prêteur de deniers) allaient connaître une baisse significative suite à un décret visant à réduire de 48% les tarifs des notaires. En réaction, le principal organisme de caution a donc revu à la baisse sa grille tarifaire.

Les emprunteurs pourront en bénéficier à partir du 1er juillet prochain. A titre d’exemple, pour un emprunt de 120.000€, le coût de la garantie Crédit Logement passera de 2.176€ à 1.460€. Une économie non négligeable donc ! Le Crédit Logement conservera ainsi toute sa compétitivité. De plus, l’avantage principal de la caution, la restitution des fonds à hauteur de 75% à la fin du prêt, est conservé. Le coût de la caution Crédit Logement restera donc particulièrement compétitif face aux garanties réelles après restitution des fonds, et parfois même dès la souscription.

Sources : Les Echos.

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Les députés ont adopté un nouvel amendement permettant de proposer aux ménages aux revenus les plus modestes des prêts à taux zéro d'un montant plus élevé. L'objectif fixé est de compter 20.000 bénéficiaires du prêt à taux zéro en plus tous les ans. Autre objectif : voir les ventes de logements neufs auprès de menages modestes progresser de 45.000 à 65.000 unités chaque année.

Ainsi, le prêt à taux zéro n'en finit pas d'être bonifié, souligne Les Echos. Après avoir été élargi aux acquisitions dans l'ancien et avoir relevé ses plafonds d'attribution, une nouvelle extension vient d'être proposée.

Exemple : les ménages aux revenus les plus modestes achetant en zone A (là où le marché immobilier est le plus tendu) un bien dans le neuf pourront emprunter jusqu'à 42.500€, contre 27.500€ à ce jour. Avec cette nouvelle extension du prêt à taux zéro, "un tiers du prix du logement est ainsi convert par le prêt à taux zéro", se réjouit Jean-Louis Borloo, Ministre du Logement.

Cette mesure est mise en place pour 4 ans.

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Les Espaces Immobiliers BNP Paribas viennent de publier leur Baromètre Habitat avec l'institut BVA. Il en ressort que 6 % des locataires interrogés escomptent une baisse des prix prochainement.

La lassitude des Français vis-à-vis des prix élevés de l’immobilier est le principal enseignement de ce sondage, réalisé auprès de 1.500 personnes. En effet, les prix sont jugés « élevés » pour 38% des sondés. Et seulement 6 % des personnes intérogées pensent que les prix vont baisser.

Pour M. Jean-Claude Szaleniec, Président des Espaces Immobiliers BNP Paribas, « cette édition du baromètre semestriel confirme les prévisions émises depuis quelques mois d’une stabilisation à haut niveau du marché et des prix ».

Les candidats à l’achat ne renoncent pas à leur opération pour autant. Ainsi, les intentions d’achat sont à 16%, trois points de plus que dans le dernier baromètre Habitat. Mais la part des locataires dans les intentions d'achats diminue. La part des primo-accédants perd ainsi 22 points depuis octobre dernier. En revanche, les achats dits "de confort" augmentent. De plus en plus de propriétaires de leur résidence principale songent à réaliser une seconde opération afin d'améliorer leur cadre de vie. Les achats de résidences secondaires ont donc le vent en poupe, alors que les locataires hésitent de plus en plus à acheter à la vue des prix pratiqués sur le marché.

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Au premier trimestre 2006, près de 33 000 logements neufs ont été vendus, soit une hausse de 8,9 % par rapport au même trimestre de 2005, selon les chiffres publiés aujourd'hui par le ministère du Logement. L'essor du marché provient des appartements, dont les ventes augmentent de 12 %, alors que les ventes de maisons individuelles sont en retrait de 4,8 %. Sur la même période, près de 35 600 logements ont été mis en vente contre 31 600 au premier trimestre 2005 (+13 %) ce qui correspond néanmoins à un net ralentissement (+26 % au quatrième trimestre 2005 par rapport au quatrième trimestre 2004). Comme pour les ventes, ce sont les logements en immeuble collectif qui augmentent le plus (+14 %).

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